Argenteuil, 95, France
Chers internautes, bonjour! Bon, je vais un peu parler de ma maladie! Je suis atteint de sclérose en plaques depuis 1992! Elle n'a été diagnostiquée qu' en 2000, et, pour lutter et aider les autres dans leur combat, je me suis mis à écrire! Voici quelques uns de mes textes Pour me contacter: jean-marie.prevost0806@orange.fr

jeudi 10 avril 2008

Sans commentaires...

Violences conjugales envers les hommes

Dès 1977, la sociologue américaine Suzanne Steinmetz créait le concept de « mari battu », ultérieurement remplacé par celui d'« homme battu ». Dans une étude de 1980 (Behind Closed Doors - Violence in The American Family), comprenant une enquête de victimisation, Strauss, Gelles et Steinmetz affirment que les femmes commettent la moitié des violences physiques domestiques. Si le taux d'agression est équivalent, concluent-ils, les hommes causent plus de dommages directs aux femmes, mais les femmes commettent des agressions avec des armes, provoquant des blessures plus graves. Suzanne Steinmetz a écrit : « Le crime le plus sous-estimé n'est pas la femme battue, mais le mari battu. »
En France, 10 à 15% des faits de violences conjugales constatés par les services de police et de gendarmerie concernent des hommes victimes. Ce chiffre est très en-dessous du chiffre réel des violences, car la plupart des hommes concernés n'osent pas porter plainte, de peur de ne pas être crus, d'être ridicules, ou de subir une plainte reconventionnelle de la part de leur conjointe à laquelle sera accordée une bien plus grande crédibilité, le risque de perte de contact avec leurs enfants dans le cadre d'une séparation très conflictuelle ou la garde serait attribuée à la mère.

De fait et dans le monde francophone, plusieurs enquêtes vont dans le sens de la symétrie des violences. Il s'agit par exemple de l’Enquête sociale générale du Canada, 1999, puis de la même enquête menée en 2004, toutes deux commentées par Denis Laroche, d'une enquête d'enseignants de l'Institut de la famille de Fribourg, Guy Bodenmann et Barbara Gabriel, en 2002, ou de l'enquête BVA/L'Express de juin 2005. Une série de témoignages sont disponibles dans la thèse d'une travailleuse sociale suisse, Sophie Torrent, intitulée L'Homme battu, et dans La Cause des hommes de Patrick Guillot. Vous trouverez un recensement des études sur la violence féminine envers les hommes dans le livre du psychologue québécois Yvon Dallaire intitulé La violence faite aux hommes (Ed. Option Santé).
Au point de vue homicides conjugaux, il meurt, selon l'enquête conjointe de la police et de la gendarmerie portant sur 2003-2004, un homme tous les seize jours, et selon l'enquête portant sur 2006 et publiée par le ministère de la Parité, un homme tous les treize jours.
Il est à noter qu'un certain nombre de violences graves perpétrées contre les pères par les mères dans les couples en situation de divorce ne sont pas comptabilisées comme "violences conjugales". Il s'agit notamment des fausses accusations de violences physiques ou sexuelles à l'encontre des enfants, du délit de non-représentation des enfants très peu sanctionnée en France lorsqu'il est le fait d'une mère, de l'aliénation parentale des enfants, des déménagements à longue distance rendant difficiles le droit de visite du père.

Source: Wikipedia.org

Voilà ce que je vis au quotidien...

Bises
JM

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